Le C.G.O.S a soutenu le Centre Hospitalier Lombez-Samatan (Lombez, Gers) dans la mise en place d’actions collectives, notamment pour remercier ses équipes après l’épreuve de la crise liée à la Covid.

Le Centre hospitalier de Lombez-Samatan s’est emparé de la proposition du C.G.O.S qui souhaite apporter son soutien à des projets d’actions sociales collectives en attribuant une aide. « Le C.G.O.S a ainsi financé à hauteur de 50 % (soit 4 965 euros sur un total de 9 930 euros) les initiatives que nous avons mises en place », précise Sylvie Simonato, attachée d’administration et chargée de formation au service Ressources Humaines de l’établissement de santé, « il s’agissait pour notre Centre hospitalier de valoriser, reconnaître et remercier l’ensemble des équipes suite à la crise sanitaire et sociale sans précèdent que nous venons de traverser. »

Yoga et séances de cinéma

« Après avoir étudié les propositions de différents prestataires, nous avons pu mettre en place des séances collectives de yoga-relaxation deux fois par semaine, programmées du 1er janvier au 30 juin 2022. Ces cours, suivis hors temps de travail, ont lieu dans notre grande salle de kinésithérapie, bien adaptée, à 15h. C’est l’heure du relai entre les équipes, donc celle qui nous a semblé le plus pratique », précise l’attachée d’administration. La première séance de cinéma en plein air aura lieu en juin 2022, en soirée et dans le parc d’un EHPAD. « De plus, les agents sont désormais adhérents du club de cinéma que nous avons choisi comme prestataire pour cet événement, ce qui leur offre une réduction sur l’ensemble des séances », détaille-t-elle. Le film, qui à cette heure n’a pas encore été choisi, correspondra à une sortie récente et devra évoquer le monde rural afin de rejoindre les préoccupations du territoire de Lombez-Samatan.

Pour Sylvie Simonato, ces actions collectives ont parfaitement rempli leur rôle de renforcement des liens entre agents de toutes catégories : « J’assiste moi-même aux séances de yoga-relaxation. En plus d’en ressortir détendue, j’y croise du personnel de soins, les psychologues ou encore l’assistante sociale, ce qui n’arrive pas couramment. Étant localisés sur deux sites distants de 2 km, nous avons peu d’occasion de faire tous connaissance, cette initiative nous a réellement rapprochés. »