Témoignage d'Élodie Breton, technicienne au laboratoire de Melun (77).

Dans quels domaines utilisez-vous le C.G.O.S ?

La plupart du temps, nous nous intéressons aux prestations dédiées à la culture (sorties, spectacles, cinéma, Chèques culture) mais aussi aux Chèques-vacances, à la garde des enfants... Cette année, j’ai également pu être aidée lors de mes vacances, grâce aux offres Prix mini. Au laboratoire, nous sommes nombreux à participer au tirage au sort. J’ai eu la chance d’être parmi les sélectionnés cet été. D’autres collègues devraient partir à la montagne
au mois de février.

Le C.G.O.S a-t-il été à vos côtés tout au long de votre vie professionnelle ?

Dans cette période difficile, le C.G.O.S reste un allié très utile. Il propose souvent des belles offres. Presque tous les ans, nous avons l’opportunité de nous rendre au zoo de Beauval pour cinq euros ou à Disneyland pour moins de 60 euros, au lieu de 100 euros en temps normal. Des billets à ce prix‑là pour chaque personne du foyer, c’est une grande économie !

Aujourd’hui, qu’attendez-vous du C.G.O.S ?

Au quotidien, nous sommes nombreux à utiliser les chèques Cesu pour la garde d’enfants. Mais les municipalités sont souvent les seules à accepter les chèques Cesu. Par exemple, je déménage en janvier dans une autre ville et je vais devoir trouver une nouvelle nourrice. Malheureusement, la plupart ne sont pas intéressées par les Cesu. Avant, nous recevions un montant journalier de garde, en plus des Cesu, c’était bien mieux. Aujourd’hui, les offres sont encore trop axées vers la petite enfance et certaines de mes collègues sont oubliées car leurs enfants sont plus âgés. Et les Cesu n’existent plus pour l’emploi de personnes hors garde d’enfants (jardinier, aide-ménagère, bricolage) : nous ne trouvons pas cela très logique.