Sandrine Perez, 50 ans, est préparatrice en pharmacie hospitalière au Centre hospitalier d’Alès, Cévennes (30). Début août, elle a bénéficié d’une semaine d’évasion à la montagne, suivie par son compagnon et ses deux filles. Un séjour permis par l’Office immobilier de La Plagne, partenaire des offres « Solidarité(s) » du C.G.O.S proposées suite à la crise sanitaire du Covid-19.

Dès le mois de mai, le C.G.O.S s’est mobilisé pour récompenser l’action des hospitaliers durant la crise sanitaire liée au Covid-19. Ainsi, de nombreuses offres de séjours touristiques ont vu le jour sur le site Solidarité(s) pendant l’été, en lien avec des voyagistes partenaires.

Grâce à cette initiative, Sandrine Perez a posé ses valises une semaine au pied des pistes de La Plagne. La préparatrice en pharmacie hospitalière au Centre Hospitalier d’Alès–Cévennes était accompagnée par ses filles âgées de 18 et 20 ans, son compagnon et même son chien ! Ce séjour en famille au complet, organisé début août, était pourtant inespéré quelques mois auparavant. « J’ai été très surprise qu’on ait le droit à quelque chose. Je me suis inscrite sur conseil d’un collègue et manifestement ça a fonctionné ! »

Une pause qui s’annonçait bien méritée pour la préparatrice en pharmacie, déterminée et réquisitionnée durant une période sanitaire anxiogène. « Cette expérience nous a demandé beaucoup d’adaptabilité : il a fallu que l’on change nos gestes, notre manière de travailler et de nous organiser à l’hôpital. C’était un vrai combat quotidien à mener, y compris à la maison où le mode de vie a été repensé » raconte-t-elle.

Découvrir les joies de la montagne

A défaut de se rendre en Espagne comme prévu, ce sont les activités estivales au grand air de La Plagne qui ont rythmé cette semaine de vacances familiales. Randonnées, visite du glacier et mountain kart étaient au programme ! Pour l’agent et sa famille, cette escapade à la montagne signe une première ! « Ce séjour nous a fait énormément de bien. Il nous a ouvert les yeux sur la montagne que nous ne connaissions pas l’été, à tel point que nous espérons y revenir l’année prochaine ! » confie Sandrine Perez.